Vas te faire foutre.
Tu veux savoir, tu m'emmerdes. Tu m'emmerdes à être toi et à ne pas parler de tes "sentiments". Il faut arrêter et accepter d'être franc un peu, même si c'est pas toujours plaisant et parfois un peu gênant. Tu penses quelque chose? Eh bien assume-le. Merde. Moi toujours, j'ai essayé d'être la plus franche avec toi. Parfois ça n'a pas été facile. Mais je l'ai fait. J'en attendais au moins autant de toi en retour. Mais non.
J'en ai assez de ne pouvoir faire autrement que de te courir après. Parce que justement, je sais que tu ne me dis pas tout. Et ça me rend dingue. Vraiment. La nuit je n'en dors pas, parce que je me torture l'esprit à essayer de comprendre ce qu'il se passe.
Je n'en peux plus. Pour de vrai. Et ensuite, c'est toi qui me reproche d'aller mal, de le montrer et d'en avoir rien à foutre de si toi tu vas bien ou pas ... Je n'en ai pas rien à foutre. Mais si tu ne me dis rien, je ne peux pas deviner.
Tu m'abimes et je m'use.
Je ne sais plus quoi faire.
Help.
" Tout irait beaucoup mieux si tu n'aimais pas autant
ce qui te fait tellement souffrir. "
Faut croire qu'on est masochistes. Que la douleur, çà fait des adeptes. Tout ce que je viens de lire depuis le début, je le connais pour le vivre à l'heure actuelle. Et la citation sur la jalousie, laisse tomber. J'ai honte. Honte parce que c'est exactement çà. Arf..