Morte-elle-ment

Fucking Heart Disease!

Samedi 13 octobre 2012 à 1:43



Et j'ai tellement horreur de savoir que je ne te manques pas.
Que tu continues ta vie comme si de rien n'était. Alors que moi je n'y arrive pas.
Tous les jours, je suis dans cet appartement qui a été le lieu de notre idylle secrète,
Où je peux si aisément me rappeler chacun des moments passés ensemble.
Ces petits moments qui me sont si chers et qui me font pourtant si mal.
J'aimerai tellement pouvoir revenir en arrière et les revivre.
Mais non. Je ne peux pas. Je ne peux pas.
Et je n'arrive pas à l'accepter.

Tu me manques. Et vivre dans cet appartement, dormir dans ce lit est un enfer.
Et je n'ai pas d'autre choix que de le subir.

Tu me manques. Tous les jours.
Et il n'y a rien que je puisse y faire.

J'essaye de combler le vide. Mais rien n'arrive à te remplacer.
Certaines choses me soulagent. Mais ce n'est que momentané.

J'aimerai tellement que tu reviennes ...

Samedi 6 octobre 2012 à 15:57


C'était il y a un peu plus d'un mois maintenant. Et c'est comme si j'avais été sous l'eau, en apnée depuis 2 mois ... Puis, ce jour-là, je t'ai revu, je t'ai retrouvé. Et c'était comme enfin sortir la tête de l'eau et reprendre ma respiration. Un grand bol d'air, et de joie. Intense. Tu me parlais, tu me souriais, tu riais avec moi. J'ai retrouvé celui que j'avais perdu, celui que tu étais avec moi avant que tout ne parte en couille. Et j'étais tellement heureuse, tellement.
Mais je dois quand même avouer que le tableau s'est plutôt vite assombri. Mais je préférais ne pas l'admettre, et profiter de ce que tu voulais bien me donner ce soir-là. Tu m'accordais enfin ta présence, moi qui avait été interdite de nouvelle depuis tout ce temps. Je l'ai pris comme un cadeau précieux. Je n'avais pas d'autre choix que d'en profiter, parce qu'au fond, je savais qu'au moment où tu refermerais la porte, tout serai redevenu comme à la "normale". Même si j'ai nourri quelques espoirs, je savais très bien que tu ne me rappellerai pas, que tu ne ré-autoriserais pas à rentrer dans ta vie. Et malgré tout ça, j'ai accepté. Tu as passé la soirée chez moi, et la nuit aussi. Mais non. Aucune nouvelle depuis. Le pire est que je ne sois même pas surprise ...

Mine de rien, il faut avouer que je te connais bien ...

Vendredi 5 octobre 2012 à 16:58


Je deviens dingue. A m'en taper la tête contre les murs.
D'une jalousie à m'en rendre malade, méconnaissable.
J'ai peur tu sais, j'ai tellement peur. Je n'en dors pas la nuit.
Tellement peur que tu tombes amoureux.
Amoureux de quelqu'un qui ne sera pas moi.
Et toujours, à me demander,
"Et pourquoi elle? Qu'est-ce qu'elle a de mieux?
Pourquoi est-ce qu'il la trouve mieux que moi? "
Tout ça, encore, toujours, sans cesse.
J'ai peur, et je n'en peux plus.

Lâcher prise.
C'est ce qu'il faudrait que je fasse.
Mais pour une raison qui m'est plus ou moins étrangère,
Je me cramponne à toi, de toutes mes forces.
Je n'ai toujours pas lâcher. Toujours pas.
Un jour peut être.
Mais je n'en ai tellement pas envie ...


En plus d'être comme une putain de droguée,
je suis un peu comme un chien bien dressé qu'on aurait abandonné:
complètement perdu, attendant fidèlement que son maître revienne le chercher ...

Mercredi 3 octobre 2012 à 21:59


A quoi ça sert maintenant d'être belle?
Il n'est plus là pour le voir ..
Plaire aux autres? A quoi bon?
Cela ne le rendrait même pas jaloux,
Et cela ne m'apporterais qu'une bien piètre satisfaction ...

Mardi 2 octobre 2012 à 10:51


Me noyer dans tes sourires,
et boire le bleu de tes yeux jusqu'à m'en
étouffer.




Oui, c'est ça qui me rendrait heureuse ... ¤

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