Morte-elle-ment

Fucking Heart Disease!

Dimanche 10 juin 2012 à 1:27



" Comme jalouse, je souffre quatre fois:
parce que je suis jalouse, parce que je
me  reproche  de  l'être, parce que  je
crains  que  ma  jalousie  ne   blesse
l'autre, parce que je me laisse assujettir
à une banalité ; je souffre d'être exclue,
d'être agressive, d'être folle, ou d'être
commune. "




L'autre nuit, j'ai rêvé que tu étais avec une autre, devant moi, comme si de rien n'était. Dans le rêve, ça m'a mis dans une rage folle. Je t'ai tapé une crise. J'ai essayé de te frapper, mais comme souvent dans mes rêves, mes coups ne portaient pas. Quand je me suis réveillée, je pleurais. Cette image m'a vraiment blessée. J'ai tellement peur que tu trouves quelqu'un d'autre. Je sais, cette pensée est tellement égoïste, mais je ne pourrai pas supporter de te voir avec une autre ... 

Jeudi 31 mai 2012 à 0:04



Mes nuits sont courtes et dures dans un lit toujours trop grand et trop vide.

J'aurai voulu que ça se passe autrement. Mais tu ne m'aimeras jamais. Il faut que je me fasse une raison.


Dimanche 27 mai 2012 à 12:52


J'en avais fini de ces sales manies de faire craquer les doigts et me manger la peau autour des ongles.
Depuis que tu es parti, j'ai recommencer. Et c'est encore pire qu'avant. Anxieuse la fille, hein?
C'est ça de se torturer constamment l'esprit ...

Encore une fois, je suis fatiguée ...

Samedi 26 mai 2012 à 14:55





" J'aimerai être toutes les femmes sur lesquelles ton regard
se pose. "



Tu me manques et je ne peux même pas te le dire ...

Jeudi 24 mai 2012 à 22:27



Vas te faire foutre.



Tu veux savoir, tu m'emmerdes. Tu m'emmerdes à être toi et à ne pas parler de tes "sentiments". Il faut arrêter et accepter d'être franc un peu, même si c'est pas toujours plaisant et parfois un peu gênant. Tu penses quelque chose? Eh bien assume-le. Merde. Moi toujours, j'ai essayé d'être la plus franche avec toi. Parfois ça n'a pas été facile. Mais je l'ai fait. J'en attendais au moins autant de toi en retour. Mais non.
J'en ai assez de ne pouvoir faire autrement que de te courir après. Parce que justement, je sais que tu ne me dis pas tout. Et ça me rend dingue. Vraiment. La nuit je n'en dors pas, parce que je me torture l'esprit à essayer de comprendre ce qu'il se passe.
Je n'en peux plus. Pour de vrai. Et ensuite, c'est toi qui me reproche d'aller mal, de le montrer et d'en avoir rien à foutre de si toi tu vas bien ou pas ... Je n'en ai pas rien à foutre. Mais si tu ne me dis rien, je ne peux pas deviner.


Tu m'abimes et je m'use.
Je ne sais plus quoi faire.
Help.





" Tout irait beaucoup mieux si tu n'aimais pas autant
ce qui te fait tellement souffrir. "



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